Bannière L’Agora de la danse, un tremplin pour la création

L’Agora de la danse, un tremplin pour la création

Au Québec, à l’aube des années 90, la danse contemporaine est un art en pleine expansion, mais encore peu connu. Elle a grand besoin d’un lieu pour s’épanouir, être créée et présentée au public.

Projet

Afin de stimuler la création et la diffusion de la danse contemporaine, quatre acteurs importants du milieu dont Martine Époque, professeure à l’UQAM, cherchent un lieu idéal pour que s’épanouisse cet art. C’est dans les locaux loués et fraîchement rénovés du pavillon de danse de l’UQAM que voit le jour, en 1990, l’Agora de la danse.

Impacts

  • Depuis maintenant plus de 25 ans, l’Agora favorise le rayonnement des chorégraphes, des interprètes et des artisans de la danse. Elle offre des résidences aux artistes et invite le public à vivre des expériences diverses et stimulantes.
  • Elle permet à ses résidents de développer des projets d’échanges internationaux, de coproduire des spectacles et de faire des représentations à l’étranger.
  • Elle est à l’avant-plan de la création et de la diffusion en proposant une foule d’activités publiques autour de l’art chorégraphique.
Culturel
International

Membres fondateurs

Martine Époque, professeure émérite, Département de danse, UQAM (décédée en 2018)

Dena Davida, administratrice, commissaire et éducatrice, Tangente

Florence Junca-Adenot*, vice-rectrice à l’Administration et aux finances, UQAM

Gaétan Patenaude, secrétaire et membre fondateur, Regroupement québécois de la danse

*Titres de la personne au moment du projet

Partenaires

Jean Roy, (UQAM); Mario Saia (Saia Barbarese Topouzanov architectes); Ministère de la Culture et des Communications; Patrimoine canadien

Crédit image: Alex Paillon, Danny Morissette, avec la participation de Jayden Colin-Laurendeau et Camille Leduc dans le spectacle Suites ténébreuses (2019) de Cas Public